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État et cultures juridiques autochtones: un droit en quête de légitimité

Mylène Larivière

Mylène Larivière

Conseillère juridique de la Société Makivik au sein de son contentieux Silverstone, Larivière, Dorval, Godin, Me Mylène Larivière représente depuis 2002 les intérêts des Inuits du Nunavik dans la mise en œuvre de la « Convention de la Baie James et du Nord québécois » ou « CBJNQ », traité moderne de 1975, tout comme de l’ « Accord sur revendications territoriales des Inuits du Nunavik » (2006). Elle œuvre au nom de la Société Makivik notamment dans les dossiers touchant la gestion des ressources non renouvelables et la protection du droit d’exploitation des Inuit du Nunavik ; la création de parcs et aires protégées au Nunavik ; le régime des terres de catégories I, II et III et le rôle des corporations foncières inuites ; la révision de chapitres de la CBJNQ comme la négociations de conventions complémentaires au dit traité ; la mise en œuvre de l’ « Entente de règlement relatif aux pensionnats indiens » (2007); etc.
 
Aux premières loges dans le dossier d’adoption coutumière inuite, elle a comme membre de la partie inuite activement participé aux travaux du « Groupe de Travail sur l’Adoption Coutumière en Milieu Autochtone » mis en place par le gouvernement québécois et ayant émis des recommandations particulières en avril 2012. Me Larivière continue de coordonner les travaux et consultations du milieu inuit visant une reconnaissance pleine et entière, en faits et droits, des effets de l’adoption coutumière telle que pratiquée par les Inuits du Nunavik. En effet, la Société Makivik, organisme à but non lucratif représentant les bénéficiaires de la CBJNQ, est devenue à travers les ans un fer de lance dans la recherche d’une pleine reconnaissance en droit statutaire québécois des effets des droits coutumiers d’adoption autochtone.

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