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État et cultures juridiques autochtones: un droit en quête de légitimité
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Legitimus arrive à son terme

Date de publication:le 15 juillet à 21:35
Auteur: Chaire de recherche du Canada sur la diversité juridique et les peuples autochtone

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Les 17, 18 et 19 juin derniers ont rassemblé à l’Université d’Ottawa près de 40 chercheurs provenant de 8 pays du monde. À l’ordre du jour : États et cultures juridiques autochtones : réforme et innovation dans la prise en charge du pluralisme juridique. Cette ultime rencontre du projet Legitimus : « États et cultures juridiques autochtones : un droit en quête de légitimité », dirigé par le professeur Ghislain Otis et financé par le Conseil de recherche en sciences humaines du Canada, représente une envolée de plus vers une relation apaisée entre les traditions juridiques.

Entamé depuis plus de 5 ans, le projet Legitimus a pour objectif de parvenir à mieux comprendre les systèmes juridiques autochtones ainsi que les défis de leur coexistence avec les systèmes étatiques. Son directeur, Ghislain Otis, a pu compter sur la présence de divers collaborateurs, chercheurs et partenaires autochtones et allochtones de plusieurs régions du monde lors des recherches. Pendant la rencontre finale du projet, les chercheurs ont présenté leurs travaux en fonction des quatre thèmes suivants : le foncier, la famille, le traitement des conflits ainsi que les travaux d’intégration, pour ensuite conclure avec les bilans des retombées et suites du projet.

« Cette rencontre finale fut l’occasion de mesurer les acquis de travaux entamés il y a plus de 5 ans avec des chercheurs de plusieurs continents sur le défi du pluralisme juridique en contexte autochtone et coutumier. »

Ghislain Otis, professeur à l’Université d’Ottawa et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la diversité juridique et les peuples autochtones

De la Côte-d’Ivoire, à la Nouvelle-Calédonie, en passant par la France et le Canada, voici quelques citations qui ont été entendues lors de l’ultime rencontre :

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« Ce colloque est d’une importance capitale parce qu’il parle de cohésion et d’amour. »

Digbeu Zobre, chef des terres de Soubré (Côte-d’Ivoire)

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« Une nation, c’est un territoire, un peuple. »

Raphaël Mapou, Conseil national pour les droits du peuple autochtone Kanaky-Nouvelle-Calédonie (Nouvelle-Calédonie)

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« Sans écrits, il n’y a pas de passage aux témoins. »

Fabrice Hourquebie, Université de Bordeaux, CERCCLE (France)

 

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« If you can’t imagine something, it won’t exist. »  (Trad.: Si vous ne pouvez imaginer une chose, elle n'existera pas.) 

Val Napoleon, University of Victoria (Canada)

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« Ce qui n’est pas écrit n’existe pas. »

Nadine Vollant, Uauitshitun – Uashat mak Mani-utenam (Canada)

 

 

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